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Musical
0001 - Always You (1920)
Musique: Herbert Stothart
Paroles: Oscar Hammerstein II
Livret: Oscar Hammerstein II
Production originale: Athur Hammerstein
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Le premier book-musical de la décennie Always You était de bon augure, car c’était la première fois qu’Oscar Hammerstein II était représenté à Broadway en tant que parolier et librettiste. (Ses vrais débuts à Broadway ont eu lieu en 1917, lorsqu’il a écrit les paroles de Make Yourself at Home pour le musical Furs and Frills).

Genèse: Oscar Hammerstein II est le petit-fils du producteur, librettiste, parolier et compositeur Oscar Hammerstein I (1847-1919) et le neveu du producteur et metteur en scène Arthur Hammerstein (1872-1955), qui produit plusieurs musicals de son neveu dont Always You, Tickle Me, Jimmie, Daffy Dill, Wildflower, Mary Jane McKane, Rose-Marie, Song of the Flame, The Wild Rose, Golden Dawn, Good Boy, et Sweet Adeline. Pendant ses années à l’Université Columbia, le jeune Hammerstein participa comme interprète et/ou auteur aux spectacles universitaires On Your Way (1915), The Peace Pirates (1916) et Home, James (1917). C’est après une représentation de ce dernier qu’il a été présenté à un jeune compositeur nommé Richard C. Rodgers. Pour le War Show de Columbia en 1918, il a écrit le livret et les paroles pour Ten for Five, et entre 1919 et 1922, il a été associé à six musicals de Rodgers, dont un qu’il a mis en scène et cinq dont il était l'auteur des paroles de quelques chansons: Upstage and Down (1919), You’d Be Surprised (1920), Fly with Me (1920), You’ll Never Know (1921), Say It with Jazz (1921) et Jazz à la carte (1922). Bien sûr, pendant presque deux décennies, Hammerstein II s’associa par intermittence avec Jerome Kern dans plusieurs musicals, et pendant à peu près la même période, Rodgers collabora avec Lorenz Hart. Ce n’est qu’en 1943 que Rodgers et Hammerstein ont commencé leur mémorable partenariat à Broadway (et au cinéma) avec Oklahoma! ().

Résumé: Le livret d'Oscar Hammerstein II pour Always You a eu lieu en France. Dans un bref prologue se déroulant en août 1918, le soldat américain Bruce Nash (Walter Scanlon) et la Française Toinette Fontaine (Helen Ford), infirmière de la Croix-Rouge, se promettent un amour éternel, mais un an plus tard, Bruce revient en France avec sa fiancée Joan Summers (Anna Seymour). Bruce se rend vite compte qu’il aime toujours Toinette, et, comme par hasard, Joan tombe amoureuse du meilleur ami de Bruce, Charlie (Russell Mack). Et tout finit bien pour les deux couples…

Création: 5/1/1920 - Central Theatre (Broadway) - 66 représ.



Musical
0002 - Tickle Me (1920)
Musique: Herbert Stothart
Paroles: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Livret: Frank Mandel • Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Production originale: Athur Hammerstein
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Liste chansons  

Tickle Me est un musical en deux actes avec un livret et des paroles d'Oscar Hammerstein II, Otto Harbach et Frank Mandel et une partition d'Herbert Stothart. Tickle Me a été produit par Arthur Hammerstein et a ouvert au Selwyn Theatre le 17 août 1920 et fermé après 207 représentations le 12 février 1921. Le musical s'est ensuite lancé dans un US Tour réussi jusqu'au printemps 1922.

Genèse:

Résumé: Tickle Me a mis en vedette le vaudevillien Frank Tinney, qui a joué son propre rôle dans une histoire où il décroche un emploi dans un film en cours de tournage en Californie, à Calcutta, et au Tibet. Tinney était un artiste populaire de l’époque, et si on en croit les critiques, il était virtuellement à lui seul tout le spectacle: il apparaissait en blackface puis en drag, prenait le temps de sortir certaines de ses vieilles routines de vaudeville qui impliquait une cornemuse, et, avec Louise Allen, interprétait Broadway Swell and Bowery Bum, une séquence spéciale de dix minutes qui évoque le divertissement d’antan du Tony Pastor Variety.

Création: 17/8/1920 - American Airlines Theatre (Broadway) - 207 représ.



Musical
0003 - Jimmie (1920)
Musique: Herbert Stothart
Paroles: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Livret: Frank Mandel • Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Production originale: Athur Hammerstein
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Liste chansons  

Jimmie a été l'un des premiers efforts d’Oscar Hammerstein II dans le monde des musicals, après Always You () (janvier 1920) et Tickle Me () (août 1920). Comme pour ce dernier, Jimmie avait un livret d'Oscar Hammerstein II, Otto Harbach et Frank Mandel, des paroles d'Hammerstein et Harbach, et une partition (et la direction musicale) de Herbert Stothart. L'oncle d'Oscar, Arthur Hammerstein, est de nouveau le producteur. Malheureusement, Jimmie n’a pas reproduit le succès de son prédécesseur Tickle Me () (août 1920) et ne s'est joué que deux mois à Broadway. Après la fermeture de New York, le spectacle s’est lancé dans un US Tour de cinq villes qui a duré un peu plus de trois mois. Jimmie fut le premier spectacle présenté à l’Apollo Theatre.

Genèse:

Résumé: Selon les sources, il y a des variations quand à l’histoire de base du livret. Le «Rodgers and Hammerstein Fact Book» rapporte que Jimmie (Frances White) a été élevée par Vincenzo Carlotti (Paul Porcasi), qui sait secrètement qu’elle est la fille disparue du millionnaire Jacob Blum (Ben Welch) et tente de faire passer sa propre fille Beatrice (Hattie Burks) comme héritière. Mais «The Complete Lyrics of Oscar Hammerstein II» indique que le veuf Blum (qui a une fille perdue depuis longtemps) s’est intéressé à Jimmie et compte en faire son héritier. Cependant, Mme Gambetti (Dee Loretta) trompe Blum pour qu’elle réclame plutôt sa fille Béatrice. Mais tout le monde convient que les étoiles s’alignent pour Jimmie: elle devient une star du cabaret, a un petit ami fidèle (et avocat) Tom (Don Burroughs), et d’une manière ou d’une autre (comme sa fille ou comme sa fille non officiellement adoptée) est unie à Blum.

Création: 17/11/1920 - Apollo Theatre (Broadway) - 71 représ.



Musical
0004 - Daffy Dill (1922)
Musique: Herbert Stothart
Paroles: Oscar Hammerstein II
Livret: Guy Bolton • Oscar Hammerstein II
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Liste chansons  

Le parolier et co-librettiste Oscar Hammerstein II, le compositeur Herbert Stothart, le producteur Arthur Hammerstein et le comédien Frank Tinney ont connu un succès avec Tickle Me (), qui s'est joué plus de 200 représentations à New York et mais aussi dans 17 villes dans deux US Tour distincts pendant un total de sept mois. Mais Daffy Dill n’a pas eu cette chance: sa série à Broadway n’a duré que neuf semaines et l'US Tour a duré un mois dans deux villes…

Genèse:

Résumé: Daffy Dill était techniquement un book-musical qui s'intéressait à deux couples: le premier, un couple-Cendrillon entre Lucy Brown (Irene Olsen), une pauvre vendeuse d'un magasin de lingerie, et le millionnaire Kenneth Hobson (Guy Robertson); le second entre le comique Frank Tinney (Frank Tinney lui-même) et Georgia O’Ramey (Gertie), une vieille-fille affamée bien décidée à trouver un homme, même si dans I’m from the Country, elle annonce qu’elle est une plouc rurale, rustique et provinciale, et qu’elle porte de la flanelle pour ne pas «éternuer et se geler» dans une «chemise en mousseline». Mais le spectacle se transformait souvent en une Revue avec des numéros de danse ou de comiques, et l’intrigue vaguement construite trimballait les personnages un peu partout, de la ville à la campagne, de New York à la Californie. Un sketch illustrait la répétition d’une pièce intitulée «The Coachman’s Heart». Nunnally Johnson, dans le Brooklyn Daily Eagle, a dit qu'il était difficile d'imaginer une chanson «plus drôle» que A Coachman’s Heart et qu'elle était du meilleur burlesque. La soirée comprenait deux fantaisies dansées qui dépeignaient l’histoire de Cendrillon (la première était intitulée Cinderella Meets the Prince et la deuxième At the Stroke of Twelve ...); un Pianologue pour le comique Tinney était apparemment composé de morceaux semi-improvisés; il y avait aussi une pantomime intitulée Pirate’s Gold. Une scène se déroulait dans une cour espagnole en Californie comprenant la chanson My Little Redskin, et une autre dans une fête chinoise où la chanson Chinky Chink était chantée.

Création: 22/8/1922 - Apollo Theatre (Broadway) - 71 représ.



Musical
0005 - Mary Jane McKane (1923)
Musique: Herbert Stothart • Vincent Youmans
Paroles: Oscar Hammerstein II • William Carey Duncan
Livret: Oscar Hammerstein II • William Carey Duncan
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Commentaire  Liste chansons  

Mary Jane McKane est un musical en trois actes dont le livret et les paroles sont de William Cary Duncan et Oscar Hammerstein, et la musique de Herbert Stothart et Vincent Youmans. Le spectacle a été produit par Arthur Hammerstein à l’Imperial Theatre et a été créé le 25 décembre 1923.

Genèse:

Résumé: L’intrigue se déroule à New York et concerne une jolie fille de la campagne nommée Mary Jane qui postule pour un emploi dans les bureaux des Dunn. Bien qu’elle soit une bonne sténographe, ils sont inquiets de l’embaucher parce qu’elle est trop jolie pour Andrew Dunn Jr.. Elle obtient le poste en lissant ses cheveux coupés au carré et en mettant des lunettes. Plus tard, après que M. Dunn Sr. ait congédié Jr., Mary Jane commence une relation avec Jr. et se fiance dans le dernier acte.

Création: 25/12/1923 - Imperial Theatre (Broadway) - 151 représ.



Musical
0006 - Wildflower (1924)
Musique: Herbert Stothart • Vincent Youmans
Paroles: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Livret: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Production originale:
2 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Liste chansons  

Wildflower de Vincent Youmans et Herbert Stothart a été le musical ayant la plus longue série de la saison 1922-23 à Broadway. Ce fut aussi la plus longue de tous les spectacles de Youmans, dépassant même ses succès les plus connus No, No, Nanette () et Hit the Deck ()! Youmans et Stothart ont écrit des chansons distinctes pour le musical, et n’ont pas collaboré sur ces différentes chansons. Wildflower a été le premier vrai grand succès d’Oscar Hammerstein II.

Genèse:

Résumé: La jolie Nina Benedetto est une simple fermière italienne. Appelée "Wildflower" par ses amis pour son caractère charmant et ensoleillé, elle est néanmoins bien connue pour son tempérament de feu (un trait de famille). Elle est sur le point d'épouser son petit ami, Guido, avec qui elle partage une relation tumultueuse. Elle apprend qu’un parent âgé lui a légué sa fortune, bien que le testament spécifie des conditions : elle doit vivre six mois avec ses parents sur leur domaine au lac de Côme, et si si elle se met en colère même une fois, l’argent revient à son intrigante cousine Bianca. Là-bas, Bianca provoque Nina et complote avec son fiancé, Alberto, pour faire fondre Nina. L’avocat Gaston La Roche et sa charmante épouse Lucrezia profiteraient également de la perte de l’héritage de Nina. Étonnamment, Nina sourit et garde son tempérament sous contrôle, déjouant toutes leurs intrigues. Alberto la courtise alors, lui disant que Guido est infidèle, et la trompe pour qu’elle accepte de l’épouser. Son fidèle ami Gabriele et le fidèle Guido l’aident à surmonter tout cela et à se calmer, et elle obtient l’argent et son homme.

Création: 29/3/1924 - Casino Theatre (Bway) (Broadway) - 477 représ.



Musical
0007 - Rose-Marie (1924)
Musique: Herbert Stothart • Rudolf Friml
Paroles: Oscar Hammerstein II • Otto Harbech
Livret: Oscar Hammerstein II • Otto Harbech
Production originale:
6 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Rose-Marie est un musical-opérette avec une musique de Rudolf Friml et Herbert Stothart, un livret et des paroles d'Otto Harbach et d'Oscar Hammerstein II. L'histoire se déroule dans les Rocheuses canadiennes et concerne Rose-Marie, une canadienne qui aime le mineur Jim Kenyon. Lorsque Jim est soupçonné de meurtre, son frère Emile prévoit que Rose-Marie épouse Edward Hawley, un citadin.

Genèse: Le producteur Arthur Hammerstein, a toujours tenté de créer de nouveaux spectacles populaires à Broadway dans la tradition de l’opérette, recherchant souvent des décors exotiques et inhabituels pour ses nouvelles productions. The Fortune Teller (1898) se déroule en Hongrie, The Merry Widow (1907) en France et Naughty Marietta (1910) présente la Nouvelle-Orléans. Il a envoyé son neveu, Oscar Hammerstein II, et Otto Harbach à Québec, au Canada, pour assister à un festival de sculpture sur glace, dont on lui a dit qu’il était magnifique. Les deux hommes en sont arrivé à la conclusion qu’il n’y avait pas, et qu’il n’y avait jamais eu, un tel festival au Québec ou ailleurs au Canada. Arthur Hammerstein n’en adore pas moins le décor canadien, bien au contraire, et Oscar Hammerstein II et Harbach commencent à travailler sur le livret pour un nouveau musical se déroulant dans les Rocheuses canadiennes. Rudolf Friml et Herbert Stothart ont collaboré sur la partition, et la star d’opéra Mary Ellis a été engagée pour jouer le rôle-titre. L’acteur et chanteur britannique Dennis King a lui incarné Jim Kenyon. Création et productions scéniques La première de Rose-Marie a lieu le 2 septembre 1924 à l’ Imperial Theatre de Broadway où elle est jouée durant 557 représentations. La mise en scène est de Paul Dickey et les chorégraphies de Dave Bennett. Le musical a connu un bref revival à Broadway en 1927. Suit au succès de la création, il a été produit au Théâtre Royal Drury Lane à Londres en 1925, bénéficiant là aussi d’un extraordinaire succès de 581 représentations. La production originale dans le West End avait un chœur de 80 artistes. Ce fut le spectacle provenant de Broadway récoltant le plus gros succès de Londres après la Première Guerre mondiale jusqu’à ce qu’il soit dépassé par Oklahoma! . Au Théâtre Mogador de Paris, Rose-Marie se joue 3 ans pour 1250 représentations, sans précédent. Ce succès préfigure le style d’ouvrage à grand spectacle qui fera recette pendant quarante années à Mogador et au Châtelet. En fait, Rose-Marie est une œuvre charnière. Déjà No, no, Nanette annonçait un changement. Avec Rose-Marie, nous assistons à un bouleversement complet. Le genre de l’opérette s’est transformé en se rapprochant du music-hall. Une histoire simple, trop simple peut-être, coupée par un seul entracte, sert de support à un spectacle mené tambour battant. Des décors et des costumes somptueux, des changements rapides, des scènes plus brèves jouées devant le rideau pour éviter les temps morts, une partition excellente, un orchestre complet, une troupe brillante, expliquent le triomphe de Rose-Marie. Adaptations cinématographiques Le spectacle a été adapté trois fois au cinéma. La première est un film muet en 1928. Joan Crawford a joué dans cette version, aux côtés de James Murray. La version la plus connue est sortie en 1936 avec Jeanette MacDonald et Nelson Eddy. Bien que l’intrigue ait changé et que la plupart des chansons aient été abandonnées, ce fut un énorme succès et devint le film le plus connu de MacDonald et Eddy. En 1954, MGM produit une version Eastmancolor en Cinemascope, qui suit de plus près l’intrigue originale, mais oublie la plupart des chansons de Friml. Cette version met en vedette Ann Blyth, Howard Keel et Fernando Lamas. Elle a été chorégraphiée par Busby Berkeley.

Résumé: Acte I : au Canada, près des Montagnes Rocheuses En arrivant dans la région, Jim Kenyon, jeune et sympathique chercheur d’or, a rencontré la ravissante Rose-Marie. Les deux jeunes gens sont aussitôt tombés amoureux l’un de l’autre. Tout serait donc parfait si Emile, le frère de Rose-Marie, ne s’était pas engagé à accorder la main de sa sœur à son propre employeur, le riche Hawley. Rose-Marie et Jim conviennent de fuir ensemble au Brésil où une situation lucrative attend le jeune homme. Rendez-vous est pris dans la montagne. La jeune fille chantera un «chant indien» si une difficulté l’empêche au dernier moment de rejoindre son amoureux. Hawley est lui l’amant de Wanda, une jeune indienne qui est l’épouse de l’Aigle Noir. Il va lui rendre visite dans l’intention de lui annoncer leur rupture. Mais le mari survient et les deux hommes se battent. Wanda poignarde son époux. Quelques heures auparavant, Jim s’était publiquement disputé avec l’Aigle Noir au sujet de la propriété d’une bande de terrain. Son meurtre accompli, Wanda accuse le jeune homme. Pour le sauver de la prison, Rose-Marie accepte d’épouser Hawley. En entendant le «chant indien», Jim comprend que Rose-Marie ne le rejoindra pas. Il part. Acte II : quelques mois plus tard, à Québec. Rose-Marie semble heureuse d’épouser Hawley. Elle parait avoir oublié Jim, surtout depuis qu’une bonne âme lui a affirmé qu’il était l’amant de Wanda et que la jalousie était la cause du meurtre de l’Aigle Noir. Jim a appris les recherches dont il faisait l’objet. Il rejoint Wanda et réussit à lui faire promettre d’avouer la vérité. Jim et Rose-Marie se retrouvent le matin même du mariage. La présence de Wanda prolonge le malentendu et Rose-Marie rompt définitivement avec Jim, avant que celui-ci ait pu s’expliquer. Mais Wanda n’accepte pas que Hawley épouse une autre femme qu’elle. Elle avoue la vérité à Rose-Marie. Celle-ci comprend son erreur et se promet de retrouver Jim qui a disparu. C’est dans la montagne, à l’endroit même où ils ont échangé leurs premiers serments d’amour, que le happy end terminera cette belle histoire d’amour.

Création: 2/9/1924 - Imperial Theatre (Broadway) - 557 représ.



Musical
0008 - Song of the Flame (The) (1925)
Musique: George Gershwin • Herbert Stothart
Paroles: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Livret: Oscar Hammerstein II • Otto Harbach
Production originale:
2 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  

L’opérette The Song of the Flame était un spectacle gargantuesque mis en scène à l’époque de la révolution russe. Le producteur Arthur Hammerstein dépensa une petite fortune pour la production, qui comptait environ 125 personnes dans la distribution (dont le Russian Art Choir et la troupe de l'American Ballet) et une cinquantaine de musiciens, dont une vingtaine de violonistes. Le spectacle s'est joué six mois à Broadway, et l'US Tour s'est joué dans cinq villes pour une tournée de deux mois et demi, mais les coûts de création et ceux importants de chaque représentation ont probablement empêché l’opérette de finir en bénéfice.

Genèse: Alors qu'il composait son Concerto in F et écrivait la partition du musical Tip-Toes () avec Ira (Tip-Toes a ouvert deux jours avant Song of the Flame), George s'est retrouvé dans l'équipe qui a produit cette opérette sur la révolution russe. On ne sait pas exactement comment Gershwin, Stothart, Harbach et Hammerstein se sont réparti le travail, mais George Gershwin n'aurait pas pu y consacrer beaucoup de temps, compte tenu de ses autres obligations. La production stylisée de SONG OF THE FLAME a eu un succès raisonnable, mais aucune des chansons n'a pu vivre en dehors du contexte du spectacle.

Résumé: Se déroulant pendant et après la Révolution russe, Song of the Flame se concentre sur Aniuta (Tessa Kosta), une noble qui mène une double vie de révolutionnaire et qui est connue de ses partisans sous le nom de «La flamme». Le prince Volodya (Guy Robertson) tombe amoureux d’elle, mais quand il découvre qu’elle est «La flamme», leur flamme d’amour vacille. Cependant, après la Révolution, les deux se retrouvent à Paris, et leur amour leur permet de mettre de côté les divergences politiques.

Création: 30/12/1925 - 44th Street Theatre (Broadway) - 219 représ.



Film
0009 - Bathing Beauty (1944)
Musique: Herbert Stothart
Paroles:
Livret:
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Commentaire  Génèse  Liste chansons  

Genèse: Production Skelton was advised to shave his red chest hair for the swimming sequences. He protested and after conferencing with his wife, only cut the hair once the studio paid him $200 in cash and saved all of the curls in a plastic bag.[3] Another scene with Skelton proved difficult to complete with his character trapped in a house with a large aggressive dog outside. The scene was due to be scrapped until Buster Keaton visited the set and quickly suggested a satisfactory resolution. The pool sequences were shot on location at the Lakeside Country Club in San Fernando Valley. The film was shot during January and the grass on the rolling country club lawns was dead and brown. Director George Sidney brought in a paint crew and had the dead grass spray painted green, which lasted the entire week of shooting. However, that ruined the grass, and the studio had to send in crews in the spring to re-seed the lawn. Williams' date to the first preview of the film in Pomona was her future husband Sergeant Ben Gage. Release The film premiered at the Astor Theater in New York. For the event, MGM publicity set up a six story-tall billboard of Williams diving into Times Square with a large sign that said "Come on in. The water's fine!"

Résumé: In Los Angeles, popular songwriter Steve Elliott (Red Skelton) prepares to marry Caroline Brooks (Esther Williams), who has pledged to give up her job as a college swimming instructor once she has wed. Likewise, Steve plans to quit his songwriting career, even though New York producer George Adams (Basil Rathbone) has already hired him to write new songs for a water ballet show. When George overhears Steve discussing his "retirement" with Caroline, he vows to prevent the marriage and enlists Maria Dorango (Jacqueline Dalya), an aspiring actress posing as a Latin-American singer, to help him. Moments after a justice of the peace pronounces the redheaded Steve and Caroline man and wife, Maria rushes in, claiming that Steve is her husband and the father of her three redheaded children, which she has paraded in at that moment. Although Steve pleads his innocence, Caroline storms off in a rage and returns to her teaching post at Victoria College in New Jersey. A determined Steve and his friend, Carlos Ramirez, follow her there, but are denied entrance to the all-female school. Later, in a New York nightclub, Steve meets drunken lawyer Chester Klazenfrantz (Donald Meek), and learns that Klazenfrantz has been hired to change the charter of Victoria College, which has never officially designated itself as all-female. Armed with this information, Steve returns to Victoria and insists on applying for admission. Unaware of Caroline's relationship to Steve, Dean Clinton (Nana Bryant) suggests to the faculty that he be admitted for a two-week probationary period, during which time they would give him 100 demerits, which would qualify him for expulsion before Parents Day. Once enrolled, Steve tries to speak with Caroline, but she refuses to listen to his explanations and tells him she is seeking an annulment. Later, in music class, stodgy Professor Hendricks (Francis Pierlot) attempts to discredit Steve, whose presence on campus has created a furor among the co-eds, by ordering him to write his own version of the Scottish ballad Loch Lomond and teach the next day's class. With help from several talented students, Carlos, the music teaching assistant (Ethel Smith), and Steve's friend Harry James and his orchestra, Steve meets Hendricks' challenge and is awarded an "A". That night, Steve visits Caroline at her house, but is turned out after Willis Evans (Bill Goodwin), a conservative botany professor who is in love with Caroline, arrives. When Caroline realizes that Steve is hiding in her closet, spying on her, she commands Willis' Great Dane, Duke, to guard the closet door, while reminding Steve that unless he is in his room in five minutes, he will be expelled for breaking curfew. With only seconds to spare, Steve manages to trick the dog long enough to escape back to his dingy basement room. Steve is then visited by George, who threatens to vilify him in the press unless he finishes his songs. When Steve swears deadly revenge on the person who hired Maria, however, George backs down and offers to help Steve do his homework. Concerned about the approaching Parents Day, Dean Clinton, meanwhile, commands Steve's professors, who have penalized him with only fifty-five demerits, to bear down on him. To that end, Mme. Zarka (Ann Codee), Steve's ruthlessly strict ballet teacher, forces him to wear a tutu and dance with the co-eds, but Steve once again rises to the occasion. A now desperate Dean Clinton asks Caroline to go out with Steve and ensure that he arrives back at Victoria after the curfew. Caroline agrees, but during the evening, Steve convinces her of his innocence, and as they drive back to school, the newlyweds make plans to return to California together. Unknown to Caroline and Steve, Maria is on campus, looking to expose George, who has been trying to get rid of her, to Steve. At the same time, a campus sorority descends on Steve's room, hoping to initiate him, and Jean Allenwood (Jean Porter), another co-ed, shows up with news that her parents and Dean Clinton are on their way over to inspect his room. As Steve desperately hides all the women in two closets and keeps Caroline from discovering Maria, George unexpectedly arrives. Although Steve succeeds in hiding George and himself and fooling Dean Clinton and the Allenwoods, Maria soon makes her presence known to Caroline, who once again leaves in a fury. Later, Steve promises to write songs for George's water ballet show on condition he make Caroline the star. George agrees, and after Maria is finally able to tell Caroline the truth, Caroline happily reunites with Steve, who then gives George a thrashing.

Création: /7/1944 - *** Film (***) - représ.